Après une évocation historique de l'origine des Forces spéciales, cet ouvrage retrace le rude entraînement du Béret Vert. La guérilla au Tibet, les embuscades au royaume de Sihanouk, les parachutages clandestins en République démocratique du Viêt-nam, autant d'activités insoupçonnées révélées au fil des pages ...
Mais la guerre secrète n'est nullement circonscrite à la seule Asie du Sud-Est : fer de lance de la CIA, les Forces spéciales ont le monde comme terrain d'action. L'auteur nous entraîne dans les Andes, où un âpre corps-à-corps oppose les Bérets Verts et les parachutistes péruviens aux guérillas gauchistes. La collusion entre les techniques d'investigation de la CIA et la trame tissée par le KGB jette un nouvel éclairage sur la fin tragique de Che Guevara. Enfin, d'inquiétantes divulgations sur les carences' de a machine de guerre américaine sous l'ère Carter expliquent le camouflet infligé par l'Iran khoméniste. Ces révélations spectaculaires sont l'aboutissement d'une longue enquête menée par un spécialiste auprès des témoins eux-mêmes.
39 ans. Né un 14 juillet. Officier parachutiste de la 10e D.P. L'auteur a occupé d'importantes fonctions commerciales au sein des sociétés d'électronique professionnelle proches du groupe lIT. A été correspondant pour l'Europe de la revue américaine Military Journal, collabore à d'autres revues militaires et à des ouvrages collectifs. Il se passionne pour l'histoire militaire contemporaine, la guerre subversive et le renseignement demeurant ses sujets de prédilection.

Biographie du Général Marcel Bigeard, l'auteur ayant servi sous ses ordres en 1954 au 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux. Né à Toul en 1916, il est employé à la Banque de la Société Générale de 1930 à 1939. En 39-40, il sert dans l'infanterie de forteresse, est prisonnier de guerre et s'évade en 1941. En 1944, il est parachuté en France. De 1945 à 1954, il combat en Indochine (3e Bataillon Thaï, Commandant du Bataillon de Marche indochinois, 6e Bataillon Para, opérations au Laos et au Tonkin, Dien Bien Phu puis la captivité) puis en Algérie (Colonel, il commande le 3e Régiment de Chasseurs Parachutistes de 1956 à 1958, est Chef de secteur opérationnel en 1959-60). De 1960 à 63, il commande le 6e Régiment Inter-Armes d'Outre-Mer puis la 25e Brigade de Parachutistes tout en étant Conseiller technique du gouvernement centrafricain. En 1966, il est Commandant de la 20e Brigade aéroportée, Général de Brigade en 1967, puis sert à Dakar (1968-70) puis à Madagascar (1971-73), est promu Général de Corps d'armée en 1973, commande la 4ème Région Militaire en 1974, devient Secrétaire d'Etat auprès du Ministre de la Défense (1975-76) puis Député et Président de la Commission de la Défense Nationale à l'Assemblée nationale.

Récit romancé, de juin 1943 à mars 1945, de l'épopée de la 2ème Division Blindée, constituée à partir d'une poignée d'hommes partis du Tchad, auxquels sont venus s'ajouter des Spahis, des Chasseurs d'Afrique, des marins, des Espagnols républicains, des évadés de France, des Français d'Afrique du Nord, des Marocains. La Normandie, Paris, Strasbourg libérés, le 2ème D.B. sera la première à pénétrer à Berchtesgaden, le Nid d'Aigle d'Hitler.

Faits d'armes des troupes coloniales: la Guerre du Rif (1924-25), en Mauritanie (1932), en France (mai 1940), en Indochine (juin-septembre 1940), au Fezzan (Libye) (janvier 1941), à Bir Hakeim (décembre 1941), en France (1944), en Indochine (1945-54), en Algérie (1956), au Tchad (1968-1980).

Le 11e CHOC dépend directement de la Présidence du Conseil. Pour la première fois un ancien raconte de l'intérieur, la brève carrière de cette unité pas comme les autres qui gardera une place à part dans l'Histoire. Leur histoire a commencé en 1946, ces hommes ont combattu sur tous les théâtres d'opération, le plus souvent dans l'ombre.
Erwan Bergot (1930-1993) a servi dans les rangs du 11ème Choc avant de combattre en Indochine et au Vietnam

Récit romancé de l'épopée de jeunes garçons de moins de 18 ans qui se sont embarqués pour l'Angleterre en 1940 et qui ont été rassemblés à l'Ecole des Cadets de la France Libre. Au noyau initial des 150 premiers volontaires, vont s'ajouter d'autres jeunes gens venus de France occupée et de tous les coins du monde, de Madagascar au Liban, d'Afrique du Nord à l'Indochine; de Belgique aussi, comme Gilles Anspach, fils du champion olympique d'escrime Paul Anspach. Ils prendront part aux combats de la France Libre, jusqu'à la Libération.

L'auteur - Né en 1939. François Broche, écrivain, journaliste, a obtenu le prix littéraire de la Résistance en 1971 pour LE BATAILLON DES GUITARISTES (Fayard), histoire du célèbre Bataillon du Pacifique créé et
commandé par son père, le lieutenant-colonel Broche, compagnon de la Libération, tué à Bir Hakeim en 1942. Il a également écrit plusieurs ouvrages d'histoire contemporaine.

Juin 1940. La France vaincue dépose les armes. ais la guerre ne cesse pas pour quelques hommes. ardents et généreux, qui abandonnent la métropole et l'Afrique du Nord pour l'Angleterre et le Moyen-Orient. Leurs motivations sont diverses, leur matériel disparate et ils sont dispersés. Mais une même volonté les anime. En Angleterre, on les regroupe immédiatement en une escadrille, qui est envoyée en Afrique noire. Les premiers aviateurs de la France Libre, équipés de vieux Bristol Blenheim, prennent part à l'opération contre Koufra, puis à la campagne d'Abyssinie, où ils jouent un rôle important dans la défaite italienne.
Quelques mois plus tard, le groupe Lorraine est engagé dans l'offensive de l'hiver 1941/42, en Cyrénaïque, contre l'Afrikakorps de Rommel. En un an, le groupe effectue trois cent quatre-vingts missions au Moyen-Orient. Il est présent en tous les lieux où se déroulent des affrontements décisifs entre les Alliés et les forces de l'Axe. Ramenés en Angleterre, équipés d'appareils modernes (des Douglas-Boston), les pilotes du "Lorraine", parmi lesquels l'écrivain Romain Gary et Pierre Mendès France, qui quitte le groupe pour devenir commissaire aux Finances du général de Gaulle, se montrent des virtuoses du vol rasant. Devenu le Squadron 342 de la Royal Air Force, mais toujours connu sous son nom d'origine, il accomplit de nombreux bombardements--sur la France, la Belgique, les Pays-Bas et l'Allemagne. Le 6 juin 1944, le groupe Lorraine est chargé d'une opération étonnante et délicate : étendre un rideau de fumée devant la flotte alliée lancée à l'assaut de la Normandie. Le groupe s'illustre ensuite dans la bataille de Normandie. De l'été 1940 au printemps 1945, le groupe Lorraine, qui a été fait compagnon de la Libération, a réalisé des exploits innemhrahles, souvent méconnus et pourtant spectaculaires, qui font de cette phalange héroïque, où tous les grades étaient mêlés, l'un des plus efficaces artisans de la libération de la France.

"Normandie-Niemen" : un nom connu. une aventure ignorée ...
Voici l'histoire extraordinaire d'une poignée d'hommes, disséminés en 1941 sur quatre continents: en Europe occupée, en Afrique, en Asie, en Amérique. Ils ont entre vingt et trente ans. On trouve leurs noms aussi bien dans le Bottin mondain que sur la liste des pointeaux de Renault ou au tableau d'avancement de l'armée de l'air. Ils n'ont en commun qu'un désir : poursuivre la lutte à l'heure où Vichy collabore avec l'Allemagne nazie, qu'une passion : l'aviation. On les appelle tamilièrement "Tutu", "Pépito", "Bébert", "le Marquis", "Finochard" ou "Trompe-la-Mort" ... Ensemble, ils vont réaliser l'idée folle, née à Londres aux heures les plus noires de la guerre : former une unité de chasse composée de Français libres et combattant aux côtés des Soviétiques!
Des aventuriers? Des hommes courageux à coup sûr. Ils vont écrire une des plus belles pages de la Seconde Guerre mondiale, qui vaudra à leur régiment, outre le titre d' "Ambassadeur du Courage" selon lIya Ehrenbourg, celui de Compagnon de la libération décerné par le général de Gaulle. Tant d'honneurs firent parfois sourire ces pilotes, qui se moquaient des médailles et ne se souciaient que des deux cent
soixante-treize victoires de leur unité. Des hommes dont certains, à vingt-cinq ans, étaient officier de la Légion d'honneur, Compagnon de la libération, Héros de l'Union soviétique. Des hommes indifférents à la politique, francs buveurs, joyeux paillards et quotidiennement héroïques ... Des hommes comme les aime .

En mai 1955, pour la première fois au monde, l'hélicoptère est employé pour des actions tactiques: une compagnie de Légion du 2e Régiment Etranger de Parachutistes se trouvant à Biskra est posée au sommet du Chelia, djebel de 2328 mètres au milieu du massif de l'Aurès. L'opération héliportée s'invente et se rode en Algérie, l'hélicoptère devient une arme d'une efficacité redoutable. L'armée de terre, l'armée de l'air et la marine vont disposer de leur propre flotte d'hélicoptères, qui seront employés rationnellement par des chefs tels que Jeanpierre (Commandant du 1er R.E.I. tué fin mai 1958 à bord de son hélicoptère Alouette), Masselot ou Bigeard.

Légionnaires cavaliers au combat (1921 - 1984). L'histoire du 1er R.E.C de 1925 de son baptème du feu à Messifré en Syrie jusqu'au Liban en 1983, en passant l'Afrique du Nord, l'Allemagne et l'Indochine.

Le 11e CHOC dépend directement de la Présidence du Conseil. Pour la première fois un ancien raconte de l'intérieur, la brève carri!re de cette unité pas comme les autres qui gardera une place à part dans l'Histoire.

Né du 2ème Bataillon Etranger Parachutiste qui combattit en Indochine, le 2ème Régiment Etranger Parachutiste combat dès 1956 en Algérie. En 1962, il est replié à Bou Sfer en protection de la base de Mers el Kébir. Lorsqu'il prend la tête du Régiment en juin 1963, le Lieutenant-Colonel Caillaud décide de le spécialiser afin qu'il soit capable de remplir n'importe quelle mission dans n'importe quel contexte. Ses cadres et légionnaires deviennent tireurs d'élite, nageurs de combat, alpinistes. Il fait campagne au Tchad (1969-70 et 1984), saute sur Kolwezi, au Congo-Zaïre (1978), délivre des otages à Djibouti, débarque à Beyrouth en 1983.

Deuxième roman de la trilogie d'Erwan Bergot.
Ils sont trois légionnaires qui ont parcouru ensemble les sentiers de la guerre dans l'Europe de 1945. Ils se retrouvent engagés en 1948dans la guerre d'Indochine avec chacun une raison personnelle de se battre: une plantation à sauver, une femme à défendre, un général ennemi à abattre. Le chemin sera long, difficile et très périlleux ...

L'histoire du bataillon créé en août 1950 par le gouvernement français pour combattre en Corée sous le drapeau des Nations Unies.

Premier roman de la trilogie d'Erwan Bergot.
"Ils étaient cinq, comme les doigts de la main. D'origine et de conviction diverses, sinon opposées, mais tous engagés dans les Corps francs en 1940. Cinq pour parcourir les sentiers de la guerre sur tous les fronts où se jouait le sort du monde. Une fantastique épopée virile.

L'épopée de la 13e D.B.L.E. pendant la Seconde Guerre Mondiale et la Guerre d'Indochine, marquée par les batailles de Narvik, de Bir-Hakeim et de Dien-Bien-Phu.
Erwan Bergot (1930-1993) a combattu en Indochine au sein du 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux du Commandant Bigeard avant de commander à Diên Biên Phu la Compagnie de mortiers lourds du 1er Bataillon Etranger Parachutiste. Fait prisonnier, il est interné au Nord-Vietnam. En 1955, il sert en Algérie comme commandant d'une unité de rappelés puis au sein du Service "Action" chargé des opérations spéciales sur les frontières et du 2e Régiment Etranger Parachutiste. En 1961, il est grièvement blessé dans le Constantinois. Rédacteur en chef du magazine de l'Armée de Terre en 1962, il écrit son roman "Deuxième Classe à Diên Biên Phu" en 1964, premier d'un cinquantaine d'ouvrages. Officier de la Légion d'honneur, Prix de l'Académie française, Prix Claude Farrère.

Travaux N° 24 du Centre d'Histoire Militaire

Au front avec le 2ème peloton de la compagnie B.

Récit romancé consacré aux soldats du contingent servant pendant la Guerre d'Algérie, De l'envoi des premiers disponibles en 1956 à la fin de l'Algérie française, la vie quatidienne des appelés du contingent dans un pays ravagé par la guerre. Une évocation précise, émouvante qui est aussi un poignant hommage aux soldats de la France.

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Génèse et engrenage d'une tragédie, 1 novembre 1954 - 3 juillet 1962
Le Capitaine Pierre Montagnon, né en 1931, sorti de Saint-Cyr, sert au 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie jusqu'à la dissolution de celui-ci après le putsch des Généraux d'avril 1961 ; il se montre favorable à l'Organisation Armée Secrète - OAS. Commandeur de la Légion d'honneur, il fait ensuite oeuvre d'historien, particulièrement de la France coloniale, de la Légion étrangère, de la Seconde Guerre mondiale et de la Guerre d'Algérie.

Le Commandant Jean Pouget (1920-2007), Saint-Cyrien en 1940, participe au maquis du Lieutenant Morel en Haute-Savoie (décembre 1942-1944), puis, après la Libération, combat dans la 1ère Armée en Allemagne à la tête d'un peloton blindé de reconnaissance. Chef d'unité de contre-guérilla en Indochine, il est par la suite officier à l'Etat-Major du Général Cogny à Hanoï puis aide de camp du Général Navarre. Trois semaines avant la chute de Dien Bien Phu, il conclut de l'étude de la situation que les défenseurs de la base sont voués au pire. Il décide alors, et obtient de ses chefs, de se faire parachuter sur le camp retranché, qu'il sait transformé en piège ou en tombeau. Après la chute de la base, il est fait prisonnier. Une fois libéré, il est envoyé en Algérie, où il reprend en main un Bataillon d'Infanterie composé de rappelés, puis participe au mouvement du 13 mai 1958, mais il est limogé et assigné à résidence par le Général Salan et il quitte l'armée pour devenir grand reporter au "Figaro"

Le Commandant Jean Pouget (1920-2007), Saint-Cyrien en 1940, participe au maquis du Lieutenant Morel en Haute-Savoie (décembre 1942-1944), puis, après la Libération, combat dans la 1ère Armée en Allemagne à la tête d'un peloton blindé de reconnaissance. Chef d'unité de contre-guérilla en Indochine, il est par la suite officier à l'Etat-Major du Général Cogny à Hanoï puis aide de camp du Général Navarre. Trois semaines avant la chute de Dien Bien Phu, il conclut de l'étude de la situation que les défenseurs de la base sont voués au pire. Il décide alors, et obtient de ses chefs, de se faire parachuter sur le camp retranché, qu'il sait transformé en piège ou en tombeau. Après la chute de la base, il est fait prisonnier. Une fois libéré, il est envoyé en Algérie, où il reprend en main un Bataillon d'Infanterie composé de rappelés, puis participe au mouvement du 13 mai 1958, mais il est limogé et assigné à résidence par le Général Salan et il quitte l'armée pour devenir grand reporter au "Figaro"

Un ouvrage de synthèse par un très bon journaliste. Exposé clair sans parti pris sans mensonge ni omission.

Ayant quitté l'armée en 1962 après le putsch d'Alger Jacques P-aris de la Bollardière se consacre à la formation des adultes.
Ce livre est la réponse d'un homme de guerre, d'un esprit libre, à ceux qui pensent qu'il n'est pas de limites à la raison d'Etat.

Un compte-rendu détaillé de la bataille à partir de souvenirs de combattants, par un ancien officier qui y commanda une compagnie parachutistes de la Légion étrangère. L'ouvrage a été couronné par l'Académie française. Erwan Bergot (1930-1993) a combattu en Indochine au sein du 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux du Commandant Bigeard avant de commander à Diên Biên Phu la Compagnie de mortiers lourds du 1er Bataillon Etranger Parachutiste. Fait prisonnier, il est interné au Nord-Vietnam. En 1955, il sert en Algérie comme commandant d'une unité de rappelés puis au sein du Service "Action" chargé des opérations spéciales sur les frontières et du 2e Régiment Etranger Parachutiste. En 1961, il est grièvement blessé dans le Constantinois. Rédacteur en chef du magazine de l'Armée de Terre en 1962, il écrit son roman "Deuxième Classe à Diên Biên Phu" en 1964, premier d'un cinquantaine d'ouvrages.

Vietnam : Du colonialisme au stalinisme. 1975 La chute de Saigon La chute du régime Sud-Vietnamien en 1975 par une correspondante de guerre qui a couvert la guerre d'Indochine de 1951 à 1954 et la guerre du Vietnam. En deuxième partie, "Journal d'un libéré" par Huyng Tran Duc, l'histoire d'une illusion déçue d'un sympathisant des nouvelles autorités qui constate "comment les nouveaux maître du Sud-Vietnam, avec une habilité redoutable, instaurent la dictature la plus étouffante, suppriment les libertés les plus essentielles, détruisent par dogmatisme et bureaucratie l'économie jusqu'à mener le peuple à une disette proche de la famine"

Le colonel Langlais commandait les unités parachutistes à Dien Bien Phu. Ce livre est LE témoignage de première main.

Le Commandant Loustau nous conduit tour à tour dans les marécages de la Plaine des Joncs et les forêts de Tay-Ninh avec le 1er Bataillon de Marche d'Extrême-Orient, puis au Tonkin, où le 1er Bataillon de Marche Indochinois livra de sanglantes batailles. C'est dans ce bataillon d'élite, alors commandé par des chefs légendaires comme le Capitaine Bigeard, que servit le Lieutenant Leclerc de Hauteclocque, fils du futur Maréchal" Le Commandant Henry-Jean Loustau (1923-2010), rejoint l'Organisation de Résistance de l'Armée - ORA en novembre 1942, alors qu'il est étudiant à Toulouse. Dès 1943, il est chef d'un maquis de l'Armée Secrète en Région 5 et crée une Brigade qui deviendra le 50e Régiment d'Infanterie. Sous-Lieutenant en 1945, il est affecté à Madagascar puis à Colombo, où sont regroupées les forces françaises d'Extrême-Orient. Il sert en Indochine de décembre 1945 à 1954, est promu Lieutenant en 1947, Capitaine en 1950. Il entre ensuite dans deux cabinets ministériels puis est envoyé, comme rappelé, en Algérie, à la tête d'un Bataillon. Commandant en 1957, Commandeur de la Légion d'Honneur en 1958, à 35 ans, il est désigné chef de cabinet militaire du Haut-Commissaire dans l'Océan Pacifique et Gouverneur de la Nouvelle-Calédonie. De retour en Algérie, il est à la tête d'un Bataillon opérationnel. Il participe au putsch d'Alger, est condamné et s'exile

Le souci de la vérité, écrit l'auteur, l'a "forcé à respecter, dans tous ses détails, la trame de la tragédie. (.) Inventer quoi que ce fût ou m'en tenir à la légende, c'était tricher. Je livre ce que j'ai trouvé, même si j'en ai eu, parfois, le coeur déchiré"

L'histoire des Légionnaires Parachutistes du 2e B.E.P. commence, en Indochine, en 1949. Le séjour débute au Cambodge dans la décontraction. Puis, dans la nuit du 3 au 4 décembre 1951, le bataillon intervient en unité constituée. Ce sera la Bataille de Nghia Lo, suivie de celle de Ba Vi, les opérations « Lorraine », « Marion », Na San, Langson. et Dien Bien Phu.

Jour par jour, l'attaque des anciens gendarmes katangais réfugiés en Angola contre la ville de Kolwezi, première étape d'une tentative avortée de renversement de Mobutu, et l'intervention du 2ème R.E.P., sous la conduite du Colonel Erulin, destinée à sauver les Européens menacés et à reprendre le contrôle de la ville.
Pierre Sergent (1926-1992), ancien officier parachutiste qui fit toute sa carrière dans la Légion étrangère, combattit dans la Résistance puis entra à St Cyr. Il rejoint la Légion en 1950 en Algérie, sert également en Tunisie puis combat dans les rangs du 1er Bataillon Etranger de Parachutistes en Indochine (1952-1954), où il est grièvement blessé. Il prend part ensuite à toute la Guerre d'Algérie, de 1954 à 1961. Capitaine, il joue un rôle important lors du putsch d'Alger et devient Chef d'Etat-Major de l'O.A.S. - Metro (la branche de l'Organisation de l'Armée Secrète installée en France). Après l'arrestation du Général Salan, il prend la tête de l'O.A.S. et la Présidence du Conseil National de la Révolution. Deux fois condamné à mort mais jamais capturé, il est amnistié en 1968 et se consacre dès lors à l'écriture. De 1986 à 1988, il est député Front National.

Souvenirs d'un Africain blanc. Jean Schramme venu au Congo comme colon raconte sa propre aventure, un chapitre détonnant de l'histoire du Congo (1960 - 1967).

Ouvrage collectif, réflexions sur la violence pendant les guerres, comparaison des 1re et 2e guerres mondiales.

Le dernier tabou de 1914. Oublier la guerre le temps d'un Noël

Bel ouvrage de synthèse

Histoires vraies témoignages de soldats oubliés.